En premier lieu, dans le roman Le Survenant, il est vrai d’affirmer que le bonheur réside dans le nomadisme. En effet, le personnage principal préfère ne pas rester trop longtemps au même endroit car « Vous autres, vous ne savez ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur allège, tout son avoir sur le dos » (p. 190). Le Survenant explique la joie de voyager de ville en ville avec une énumération des choses qu’il aime lorsqu’il part d’un endroit pour aller à un autre. L’effet rechercher dans cette énumération est tout simplement le changement, ne pas avoir de résidences permanentes. De plus, les nomades en voyageant tout le temps ou presque, ils préfèrent ne pas se lier d’amitié, ne pas avoir d’attachement. Le Survenant préfère sa liberté en restant un minimum de temps par endroits. Même en restant chez les habitants du Chenal du moine, « pendant un an il avait pu partager leur vie ensemble, mais il n’était pas des leurs, il ne le serait jamais » (p.190). C’est pour cette raison que Le Survenant est libre de ses choix, donc de sa liberté de partir quand bon lui semble. De même, le Grand-dieu-des-routes, est toujours en recherche de nouvelles choses, expériences, et de personnes. Il cherche à connaître le plus d’endroit possible, de gens et d’expérimenter. Comme tout bon nomade, il «… voyait rutiler dans la coupe d’or le vin illusoire de la route, des grands espoirs, des horizons, des lointains inconnus » (p.191). Ce qui veut dire qu’il préfère la nouveauté que de tomber dans une routine sédentaire. Donc, le bonheur pour Le Survenant est réellement dans le nomadisme, on ne peut voir aucune autre solution car la liberté, le voyage incessant et le détachement sont tous des raisons pour lesquelles le nomade se déplace.
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Conclusion
Pour conclusion, il est possible de dire, que dans le roman Le Survenant, le bonheur se traduit dans le nomadisme. On peut traduire ce rythme de