Forces :

Un leader régional :

L’assurance demeure l’un des piliers de l’économie marocaine et de l’épargne longue. Le secteur connaît une forte croissance. Il est classé premier dans le Maghreb, selon le rapport 2009 de l’Institut de recherche Business Monitor International. Le chiffre d’affaires du secteur au titre du premier semestre 2009 a enregistré une croissance de plus de 11% et pour la seule année 2008, l’activité pèse près de 20 milliards de DH de chiffre d’affaires.

Bancassurance : un levier de croissance du secteur :

Depuis que le gouvernement a ouvert la voie en février 2005 et permis aux établissements bancaires de commercialiser des produits d’assurances, les filiales de bancassurance se sont multipliées au Maroc et représentent, selon les estimations, 50% des polices d’assurance-vie vendues, et entre 15 et 20% des primes d’assurance sur le marché.

Faiblesse :

-La tarification en Assurance
De prime abord, il convient de remarquer qu’en général, la tarification marocaine est largement inspirée de celle de la France, et par conséquent elle ne peut nullement répondre efficacement aux besoins des marocains. Cette transplantation concerne l’assurance incendie, les assurances maritimes, les risques divers et l’assurance-vie.
-Malgré les avancées technologiques qui y sont associées, le secteur des assurances en Afrique reste orienté vers la demande. En d'autres termes, les attentes du consommateur ne sont pas prises en considération. Difficile dans ces conditions d'augmenter le taux de pénétration.

Opportunités :

-redynamiser le secteur à travers "l'ouverture du capital des compagnies de réassurances nationales aux actionnaires extérieurs".

- Contrat-programme 2010-2015 :

Le secteur promet encore plus depuis que la Fédération Marocaine des Sociétés d’Assurances et Réassurance (FMSAR) et l’administration de tutelle ont élaboré le contrat-programme 2010-2015 des assurances. Ce plan