Synthèse. Diversification des êtres vivants et évolution de la biodiversité.
Introduction:
La définition d'une espèce au sens stricte est un ensemble d'individu pouvant engendrer une descendance viable et féconde. Cependant, plusieurs critère peuvent permettre de differencier les espèces les unes des autres. Ces critères étaient autrefois les seuls critères de selection permettant de classer toutes les espèces. Nous sommes cependant en droit de nous demander si ces critères de selection ont toujours été viable et si ils permettaient de définir les espèces avec exactitude mais également quel serait, aujourd'hui, les critères utilisés pour définir pratiquement une espèce?
Au cours du temps, l'Homme a utilisé différents critères pour différencier les espèces. Le premier est le critère morphologique qui classe les espèces par rapport à des caractéristiques structurales, comme la taille, la forme du squelette, la bipédie... Ces critères sont en effet caractéristiques de certaine groupe et peuvent permettre un premier classement, cependant ils sont beaucoup trop vague pour définir une espèce. Nous pouvons ainsi dans un premier temps des classements entre les espèces. Il y a dans un deuxième temps le caractère phénétique qui différencie les espèces par des critères de similitudes morphologiques, anotomiques... Ainsi on pourrait définir toutes les espèces existantes par ces caractères de "ressemblances". Cependant deux espèces très proches tel que le cheval et le zèbre peuvent avoir une descendance alors qu'ils ne paraissent pas appartenir à la même espèce. Le critère de l'interfécondité peut alors être remis en question. Cependant Il est possible de remarqué que la descendance du zèbre et du cheval, le zorse, n'est pas féconde. Ce qui nous fais donc revenir à notre définition de départ qui précise que la descendance de individus d'une même espèce doit être féconde. Cependant les critères d'interfécondité, une fois de plus ne suffisent pas, chez les espèces non