Synthèse le sport miroir de notre société
Le sport, appelé « desport » autrefois, était essentiellement un jeu. Depuis la première guerre mondiale, il se transforme en compétitions internationales notamment qui entrainent confrontations, rivalités et enjeux pour les nations et leur gouvernement. Dès lors quel est le lien spécifique entre sport et politique ? Pour répondre à cette question, à l’aides des auteurs de ce dossier ; il conviendra de mesurer, l’impact du sport sur la politique puis de cerner les limites.
Envisager le sport comme une arme politique, tel est le propos liminaire des auteurs.
Au fil des années, on s’aperçoit que le sport rassemble les peuples comme le cite GRIMM-GOBAT sur son site internet, www.largeur.com, (2010). Son confrère BONIFACE le rejoint sur cette idée dans la revue, le monde diplomatique (2004), notamment lorsqu’il explique que ces Jeux Olympiques ouvrent une fenêtre sur le monde et sur les autres peuples. GRIMM-GOBAT parle aussi de paix, on faisant référence à l’Afrique du Sud où Nelson Mandela utilise la coupe du monde de rugby pour rassembler la nation divisé par des années d’affrontements entre noirs et blancs.
Dans les différentes nations, on s’est aperçu que le sport est devenu par ses propres moyens un outil politique comme indique GRIMM-GOBAT sur site, ECHENOZ le rejoint sur cette idée dans son roman, courir (2008), en citant l’exemple des pays de l’est. BONIFACE évoque aussi la notion de chauvinisme lors des Jeux Olympiques, GRIMM-GOBAT nous donne l’exemple de la Chine qui utilise le sport pour glorifier la nation et défendre la patrie.
Tous les auteurs de ce dossier, sont d’accord pour affirmer qu’il y a eu un détournement du sport à des fins politiques. En effet, GRIMM-GOBAT cite les président OBAMA et SARKOZY qui l’utilisent. BONIFACE explique que ce phénomène apparait après la première guerre mondiale, alors qu’ECHENOZ nous donne l’exemple d’Emil Zátopek, champion de course mais avant tout