Tous les ans aux mois d’octobre et de novembre se tiennent de nombreux salons du mariage. Lors de cet évènement les générations se retrouvent et c’est a cette occasion de que les traditions et les valeurs se transmettent. D’ailleurs Robert DOISNEAU illustre cette idée de coutume (Doc 5). Dans son dessin Plantu soulèvent une autre idée, celle des pères qui aiment transmettre à leur fils un certain nombre d’éléments (Doc 3). CORNEILLE dans son œuvre le Cid (Doc 2) et Pierre BOURDIEU (Doc 1) montrent et analysent le phénomène de l’héritage ; KREMER (Doc 4) reprend cette idée en mettant en évidence l’utilisation, parfois nécessaire, d’un média extérieur. Tous ces documents invitent à s’interroger sur la nécessité de la transmission intergénérationnelle. Ils analysent le phénomène et ses causes puis envisagent les conséquences.

Ces cinq documents s’attachent à montrer la nécessité de la transmission entre les générations. Il existe différente forme de la transmission ; en effet, il peut y avoir transmission de bien matériels, d’une valeur, d’une culture, d’une histoire mais aussi d’un nom ou d’une identité ou encore de gènes. La transmission se déroule principalement dans un cadre familiale, certaines transmissions peuvent être acceptées et d’autres refusées. Tous les documents s’accordent à dire que dans l’héritage d’un patrimoine culturel et familiale l’action du père est très importante. R. BOURDIEU amène d’ailleurs l’idée que pour qu’un héritage soit réussi il faut tuer symboliquement le père, pour pouvoir le dépasser. Pour que la transmission se déroule bien il faut que l’héritage à transmettre corresponde avec les envies et les nouvelles mœurs de la génération suivante. Il est indispensable que les enfants soit d’accord avec ce que leur parents veulent leur transmette pour les accepter et les transmettre à leur tour. Les enfants ont le choix d’accepter ou non certaines transmission, mais d’autres leurs sont imposé, ils ne peuvent que les subir, cette réalité