Synthese
Le rire est un mécanisme naturel du corps humain, qui passe par le bruit, les expressions du visage. Il touche l’humanité dans son entier.
Mais le rire ne paraît-il pas méchant lorsque nous rions les uns contre les autres ?
Le corpus est composé de quatre documents, dont une page de roman, un extrait du rire, une revue ainsi qu’une interview.
Nous verrons donc tout d’abord que le rire a un aspect de méchanceté, mais qu’il a également un aspect de gentillesse.
Commençons tout d’abord par voir que le rire peut avoir un aspect de méchanceté, c’est à dire qu’il peut être moqueur, méprisant mais également humiliant à travers le rire corporel.
Tout d’abord le rire moqueur est narquois et désagréable comme nous pouvons le voir dans le document un qui est une page de roman de Gustave Flaubert paru en 1857 et intitulé « Madame Bovary », ou un professeur dit à son nouvel élève de se lever, le jeune garçon se leva et perda sa casquette et tout le monde se mit à rire. Ce rire éclatant des écoliers décontenança le pauvre garçon.
De plus le rire peut devenir méchant et guerrier comme nous pouvons l’apercevoir dans le document deux qui est un extrait du rire d’Olivier Mongin édité par Gallimard jeunesse en 2007 et intitulé « De quoi rire ? ». Ce texte nous indique la moquerie des autres groupes que celui auquel on appartient mais également les moqueries des identités nationales comme par exemple le Belge ou encore le Suisse. Ce rire peut devenir dangereux et grave car il frise le racisme.
Enfin ce texte nous dit que nous rions des autres pour mieux les achever, ou ainsi mieux imposer une frontière.
Tout d’abord le rire méprisant montre du dédain pour la personne dont on rit comme nous pouvons le voir dans le document trois qui est une revue paru dans Multitudes en 2007 et publié par Régis Tomàs intitulé « Le Plaisir de rire » lorsqu’une famille s’invitent à quelques blagues faciles sur les Blondes, les Arabes, les Juifs ou encore les Belges. Cette