Mouvement d’abord minoritaire les raves parties arrivent en France en 1989. Ciblant une population de jeunes en manque de sensations fortes et amateurs de musique techno, les raves parties abordent un aspect culturel. Le développement des raves parties semble soulever de sérieux problèmes liés à la drogue et à l’insécurité, est-il pour autant légitime d’adopter des mesures restrictives à l’encontre de ce qui reste une rencontre festive et musicale ?

Importées d’Angleterre les raves parties connaissent un succès grandissant. Basé sur la techno, les raves parties ont des principes comme la gratuité, la liberté. Souvent situées dans des lieux insolites les raves parties attirent les jeunes recherchant la rupture avec la vie réelle par le biais de la danse et de la musique.
Considérées comme une pratique ancestrale combinée à une avancé technologique, les raves partie semblent être rejetées par la majorité de la population. Contestées car souvent méconnues les raves semblent subir un rejet social.

Malgré ses aspects culturels les raves parties semblent comporter des excès inquiétants tels que la violence ou les drogues. L’ecstasy notamment est intimement liée à la techno et pose le problème de la présence de drogue sur le territoire français ainsi que les problèmes de santé engendrées par la consommation de ses drogues.
Une certaine violence à l’égard des populations voisines remettrait en cause la question de l’insécurité. Une violation des droits d’autrui fragiliserait les raves parties.

Face aux excès des raves parties une législation restrictive a été mise en place. Des sanctions comme la privation de matériels ou des amendes sont désormais présentes afin de punir des raveurs excessifs.
Cependant les raves parties restent un sujet sensible car se rassembler pour écouter de la musique reste un droit. Des tolérances sont donc accordées afin de respecter ce droit humain
On peut en conclure que les raves parties sont un produit de la modernité exprimé par