Synthèse sur la presse
La presse fait ses débuts vers 1631, Théophraste et Renaudot en sont à l’origine. Nous allons nous intéresser à la liberté de la presse dans les Alpes-Maritimes, de ses débuts jusqu’à la Libération après la Première Guerre Mondiale. Pour cela, nous allons tout d’abord voir la presse sous l’empire pour voir que la presse est libre sous la République et pour finir par voir ce qu’il se passe pendant la Première Guerre Mondiale.
La presse sous l’empire. A Nice, le premier journal qui édité fut La Gazette de Nice. Le 3 Août 1810, le décret impérial fait une autorisation préalable puis une censure. Dans les arrondissements de Grasse, les libraires ambulants sont surveillés, contrairement a aujourd’hui, car ils vendaient des pamphlets (court récit satirique) contre la religion et la guerre. Napoléon déclare la presse libre en 1870, et une liste des journaux qui sont autorisés à être vendus dans les kiosques est dressée. La presse est donc contrôlée par l’empereur pour éviter que la population soit influencée par les idéaux des rédacteurs des journaux.
La presse libre sous la République.
Sous la République, la presse est libre. En effet, la loi du 29 Juillet 1881 déclare que les imprimeries et les librairies sont libres, c’est pourquoi toute personne peut fonder un journal. Maintenant, il existe même une presse politique qui été interdite sous l’empire : certains journaux prennent partis pour un mouvement politique ou simplement pour un parti politique. De même, des journaux locaux (qui défend les intérêts locaux ou la politique local), une presse satirique (qui critique les candidats, les caricatures et dénonce leurs compromissions), une presse dialectale (le Nissart pour Nice), une presse mondaine et touristique ou encore une presse en langue étrangère ont été créés.
La presse pendant la première guerre mondiale.
Durant la Première Guerre Mondiale, la presse a été censuré car elle pouvait porter atteinte au moral de la