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Synthèse sur le rire bts2

955 mots 4 pages
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Culture Générale
Synthèse

Selon Aristote «le rire est propre à l'Homme» . En effet, seul les hommes par l'intermédiaire de leur intelligence et à travers leur langage sont capable de pouvoir exprimer cette émotion qui est le rire. De plus , depuis l'antiquité et la mythologie grec avec Momos jusqu'au triomphe du film de Dany Boon «Bienvenue chez les chti's» , le rire perdure dans le temps et évolue constamment à travers les sociétés . D'autre part le rire se caractérise en plusieurs fonctions: physiologique, sociale, intellectuelle... Néanmoins, on attribue au rire un rôle plus subversif , plus contradictoire. Pour comprendre ces sens plus subtiles nous allons nous aider d'un corpus composé d'un extrait des «Sens du rire et de l'humour» de Daniel Sibony et une partie du 1er chapitre du roman «Madame Bovary» de Gustave Flaubert. Nous allons alors nous demander comment le rire peut jouer cette fonction de subversion, de contradiction? Dans une première partie nous verrons que le rire peut être néfaste pour l'Homme mais qu'il reste tout de même essentiel à ce dernier . Dans une seconde partie nous montrerons le rôle subversif du rire.

Dans cette première partie, nous allons nous arrêter sur les limites que peut avoir le rire et le rôle libérateur de celui-ci sur l'Homme. En premier lieu , il est vrai que le rire tisse et ressert le lien social au sein d'une société ou même simplement d'un groupe. Mais d'un autre côté , il est aussi synonyme d'exclusion sociale. Ainsi une personne qui est victime de moquerie que ce soit à l'école ou bien au travail , le rire des personnes en direction de cette dernière va l'exclure de la communauté voir même la marginalisé. De plus , ce phénomène peut être accentué et se transformer en humiliation. C'est par exemple le cas de la «tête de turc» dans une classe. Ensuite , on peut considérer que par le rire, l'Homme se libère de ses peurs fondamentales comme la mort , l'angoisse, les problèmes de la vie quotidienne… en

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  • mendiants paris histoire moderne
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    aux seigneurs de les protéger et à ceux qui ne sont ni seigneurs, ni clercs d’assurer la survie alimentaire et matérielle, de l’ensemble. Dans une telle société, la question sociale, telle qu’on se la pose aujourd’hui en terme de pauvreté ou d’exclusion n’existe pas, puisque le discriminant social repose entièrement sur le rang, la place occupée dans l’ordre social des états. Cependant la pauvreté est bien présente dans les sociétés contemporaines de Charles Loyseau. En réponse à une enquête sur la mendicité à Kernouès, le recteur Yves Bergot répond à son évêque le 19 décembre 1774 en dressant un constat alarmant sur la situation des pauvres de sa paroisse : « Nous n'avons ni hôpital, ni aucun fond affecté pour les pauvres ; cependant, nous en avons environ une cinquantaine, dont la plupart sont incapables de gagner leur pain, ni de quoi sevêtir.….

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  • L'être commun de Friedrich Nietzsche
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    Tout le monde veut inconsciemment se fondre dans la masse et il pousse cela encore plus loin au point de dire que trop vouloir être commun peut amener une personne à en perdre sa propre personnalité et d’adopter une personnalité commune avec tous les autres. Il suppose aussi que l’homme, avec le temps, devient de plus en plus grégaire, de toujours vouloir être en groupe, en troupeau, et de suivre ce dernier. Il le compare à des moutons, qui se suivent en tout temps et ce peu importe ce qu’il fait, et cela va à l’encontre des valeurs des hommes, qui sont réputés d’être présentés comme étant des êtres uniques, différents des uns et des autres. Cependant, dans une société, c’est difficile d’envisagé d’être complètement différent des autres quant aux coutumes, la culture, les fêtes, les traditions etc. Cela peut mener à des regards négatifs de la part des autres, se faire critiquer ou même se faire exclure d’un groupe social.….

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  • Écoutes le vin couler ! un don des dieux !
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    Il m’a fallu donc faire dans un premier temps, le parallèle entre la symbolique de l’équerre, du compas et du volume de la loi sacrée … Ordre, rigueur, ouverture d’esprit, tradition, règle…….

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  • Synthèse sur le rire+bts
    389 mots | 2 pages

    », à travers cette analyse Pierre Siankowski raconte qu’il est possible de rire de tout à l’heure d’aujourd’hui, toutefois il est nécessaire de bien cibler son public et de bien faire passer le message pour ne pas avoir de problèmes par la suite comme des poursuites judiciaires. Le document 2 est un article paru dans le magazine Le Nouvel Observateur le 14 avril 2010. L’auteur de ce texte est Jean-Gabriel Fredet, « Gaspard Proust : Rire sans frontières ». La thèse défendue par cet auteur est qu’un humoriste peut tout dire sans se soucier des réactions du public. Le document 3 est un article de Véronique Brocard, « Stéphane Guillon ou l’humour du risque », paru dans le magazine Télérama le 31 décembre 2008.….

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  • Lecture analytique scene 9 acte ii le jeu de l’amour et du hasard, marivaux
    1557 mots | 7 pages

    Dans son œuvre Marivaux par le jeu du travestissement de ses personnages et par l’intrigue opposera le thème du mariage et de l’amour à celui des conditions sociales du XVIIIe siècle. Nous verrons ainsi qu’ici les obstacles à l’amour ne sont ni l’argent ni le choix d’un père autoritaire mais bien le malaise d’épouser ou de ressentir des sentiments pour une personne appartenant a une classe inférieur à la sienne.….

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    Il y a de nombreux sentiments au gout amer parmis le quotidien humain. Peu importe la situation ; la haine , la tristesse ou la colère sont des émotions à éviter , mais une des plus redoutable la solitude. Il y a des moyens pour ne pas être seul mais le meilleur semble être l'amitié. Dans Quatre Soldats d'Hubert Mingarelli , les héros inaugurent leur amitié en créant des rituels qui permettront de maintenir cette camaraderie. Il faudra montrer l'importance de ces rituels dans les liens qui unissent les quatres amis.….

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    Synthèse : Culture générale et expression. Le rire est libre en France, cela fait partie de la liberté d’expression d’un individu d’après la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. On peut rire de tout pourvu que le rire de verse pas dans l’injure et la diffamation.….

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  • Loi du plus fort
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    Néanmoins, au-delà de l'ironie, Rousseau montre l'existence d'une solution de continuité, partant de l'absence de droit, caractérisée par la loi du plus fort, aboutissant par le jeu des forces sociales en présence, à la création d'une loi. Tout d'abord, la première des références, dès lors qu'il s'agit de réfléchir aux rapports entre justice et pouvoir, est à relire attentivement dans le Discours de la servitude volontaire d'Étienne de La Boétie qui s'attache, entre autres, à démontrer que le pouvoir de la monarchie s'appuie au départ sur le primat de la force, militaire en l’occurrence, donc un état tout entier bâti sur la force auquel il oppose l'aspiration naturelle de l'homme à la liberté. Avant lui, Nicolas Machiavel 3 démontre que la raison du plus faible n’est jamais assez forte puisqu’elle ne lui permet pas de prendre l’avantage sur son adversaire. Au xviie siècle, Blaise Pascal 4 reprend toute l’ambiguïté d'une loi qui ne peut s'exercer sans recours à la force, et d'une force qui, seule, ne représente aucune légitimité de droit : La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique.….

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  • La négation
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    a. NIETZSCHE b. DESCARTES c. HEGEL CONCLUSION INTRODUCTION Que l’on définisse la négation comme action de nier, cela ne fait l’ombre d’aucun doute. Mais, cette définition prise ainsi est-elle la même ou signifie-t-elle la même chose chez tous les auteurs qui l’on aborder ? Sûrement pas car le contenu varie selon qu’on est chez tel ou tel auteur. Pour les uns c’est le fait de nier toutes les valeurs morales. Pour les autres par contre, c’est le fait de nier l’existence du corps.….

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