Synthèse sur le rire: mongin, tomas, flaubert et denaud
En premier lieu, le rire à une valeur social. Dans le troisième document, Régis TOMAS mets en place une image d'un repas de famille convivial. Il plante le décor pour que le rire puisse entrer en scène. Lors de ce repas de famille le rire devient simple, facile, grossier voir parfois même grivois, pour qu'il puisse être compris de tous. Il a de ce fait une sorte de valeur universelle. En effet celui-ci constitue l'une des formes primordiales par laquelle s'expriment les rapports humains. Olivier MONGIN quant à lui, explique que le rire d'une personne se communique à d'autre individu renforçant alors les liens du groupe. Lorsqu'une personne à un "fou rire" celui-ci va contaminer à coup sur les personnes qui sont présentes. Gustave FLAUBERT illustre cette idée au début de son roman, où tous les élèves rient ensemble de la même farce. Le rire rassemble donc différents individus à conditions que ces personnes rient des mêmes sujets.
Olivier MONGIN nous rappel que les individus rient des groupes auxquels ils n'appartiennent pas. La cible du rire collectifs est souvent la même, aujourd'hui on rit des arabes, des juifs ou bien des