Diélica YEO-SIONLE 1ère ES2 Avec Alimata DIABATE et Diane GAUDJI LYCEE BLAISE PASCAL ABIDJAN SYNTHESE PERSONNELLE Le premier jour où les travaux pratiques encadrés ont commencé, je savais déjà que j’avais envie de travailler sur la mode parce que travailler sur un sujet que j’aime bien me permettrait de prendre plaisir à réaliser ce projet. J’avais aussi une première partenaire, Alimata DIABATE. Etant en série ES, on a choisit comme thème la consommation, pour pouvoir y intégrer beaucoup de notions de Sciences économiques et sociales. Après avoir trouvé le troisième membre de notre groupe, la première difficulté a été de trouver la bonne problématique. Alimata a alors proposé de travailler sur les périodiques de modemais ne travailler que sur ça, ce n’était pas très constructif, ça ne nous apprendrait rien que l’on ne savait déjà. J’ai donc proposé que l’on y ajoute l’idée de production de masse et l’aspect politique et social du vêtement avec l’émancipation de la femme. Mais la problématique que nous avions trouvée ne convenait pas. On a donc fais des recherches au centre culturel français mais nous n’y avons pas trouvé grand-chose que nous ne savions déjà. Puis j’ai pensé que se trouvant dans un pays africain, il serait intéressant de travailler sue le pagne. J’ai alors trouvé une problématique qui regroupait presque toutes nos différentes idées : Comment la mode européenne influe-t-elle sue la mode d’Afrique occidentale ? j’ai aussi trouvé un plan potentiel que l’on a affiné au fil du temps et une idée de support pour la production finale qui est le magazine. En effet, puisque nous travaillons sur la mode, je me suis dit que présenter le tout sous la forme d’un magazine pourrait être interressant et peu commun. La bonne problématique trouvée, on a décidé d’interviewer un styliste ivoirien, Alain Niava pour avoir l’avis de quelqu’un qui évolue dans ce milieu depuis des années mais aussi le directeur des ventes de Vlisco, M. Aka, pour nous aider