L’internet est un gigantesque espace de liberté où circulent d’immenses flux d’informations. On pense immédiatement aux sites pédophiles ou à caractère pornographique, mais on ne peut oublier ceux qui incitent à la haine, à la violence, au suicide, au racisme.
La cybercriminalité est le terme employé pour désigner l'ensemble des infractions pénales qui sont commises via les réseaux informatiques, notamment, sur le réseau Internet. il y a differente atteintes aux personnes: diffusion d'images pédophiles, de méthodes pour se suicider, de recettes d'explosifs ou d'injures à caractère racial; atteinte à la vie privée.Tous ces faits sont punis d'une peine d'emprisonnement (5 ans maximum) et d'une amende (375 000 euros maximum).
Depuis quelques années, les pouvoirs publics se mobilisent fortement contre la cybercriminalité, de plus en plus fréquente du fait de l'essor croissant des nouvelles technologies de l'information et de la communication. La lutte contre la cybercriminalité se heurte parfois à des obstacles en raison du vaste caractère des réseaux informatiques, de la rapidité avec laquelles les infractions sont commises et de la difficulté à rassembler les preuves.
Pour prévenir au mieux ces infractions d'un genre nouveau, il existe un certain nombre de mesures de protection, les gendarmes du Net. Pendant que vous surfez tranquillement chez vous ou au travail, les forces de l'ordre veillent sur le respect des lois. Afin de lutter contre la contrefaçon, la pédophilie, l'apologie du suicide, toute forme de délit en ligne, le Web est aujourd'hui constamment sous surveillance. En place depuis 1998, elle a d'abord été créée dans le but de soutenir les enquêteurs sur des affaires en cours liées à Internet, sous la direction générale de la Gendarmerie. Elle s'évertue depuis à traquer tous les crimes et délits en ligne de jour comme de nuit.
Il ne faut pas confondre traque et provocation ! ils traquent les internaute mais ils n'ont absolument aucun droit de