Tanguy
Le roman débute à Madrid, en pleine guerre civile. Tanguy et sa mère décident de fuir vers la France. Il n’a alors que cinq ans . Pendant le voyage, il apprend qu’ils vont rejoindre son père à Vichy. Mais, par la suite, ils vont à Clermont Ferrand à cause d’une dispute entre ses parents. Là-bas, la police les emmène dans un camp où Tanguy rencontre Rachel, une juive allemande. Sa mère tombe malade et est transférée à Montpellier avec son fils. Il entre au collège où il se fait des amis. Quand sa mère va mieux, elle prépare un plan pour s’évader : prendre le train séparément pour ne pas se faire repérer pour rentrer en Espagne. Ils rencontrent Monsieur Puigdellivol pour les aider à rentrer en Espagne. La mère part la première. Malheureusement, le jour où le héros est censé rejoindre sa mère, les gendarmes évacuent la maison où il vit temporairement. Il est transféré à Paris, puis dans un camp en Allemagne. Il y rencontre Gunther qui devient son ami et l’aide à tenir le coup. Le travail est très dur, il l’abrutit. A la fin de la première partie Gunther est emmené et donne une médaille à Tanguy qui se la fait voler.
Le camp est libéré et Tanguy est transféré à Saint Sébastien où il s’y sent libre. Il est censé retrouver sa grand-mère à Barcelone, mais celle-ci est morte. Il est alors envoyé dans un centre de redressement tenu par des Frères désagréables et ignobles. Un jour il défie le chef ; il est empli de haine. Il travaille au polissoir ; un pensionnaire se fait écraser la main par une machine. Il révèle alors la vérité au médecin. Mais il n’est pas puni. Un pensionnaire, Firmin, propose à Tanguy de faire le mur. Ils le font le soir même.
Tanguy part pour Madrid et il est confié à un collège jésuite dont le directeur est le Père Pardo. Tanguy devient un élève brillant. Alors que Tanguy est malade, le Père Pardo trouve l’adresse de son père. Le héros lui écrit mais n’obtient jamais de réponse. Souhaitant tenter le