Tartuffe acte 1 scène 2
De plus, quand il aperçoit Dorine, il lui demande expressément de couvrir sa poitrine car, en tant que fervent religieux, il se refuse à se laisser aller au péché charnel. 3) Acte II, scène III. Quel portrait Dorine fait-elle du Tartuffe ? Comment utilise-t-elle les procédés de la tonalité comique pour y parvenir ? (3 – 5 lignes) (1 point) Dorine dépeint un personnage loin de celui qu’Orgon défend. Elle montre Tartuffe comme un goinfre effréné, un homme « gros » et « gras » avec la « bouche vermeille ». Tandis qu’Elmire est malade, Tartuffe se baffre sans arrêt. La gourmandise faisant partie des septs péchés capitaux, c’est un vice bien malheureux pour un …afficher plus de contenu…
Dans le cas de Tartuffe, on observe l'anaphore : « Et Tartuffe » à mainte reprises, qui démontre l'intérêt grotesque qu'Orgon porte à Tartuffe et ne manque pas de faire sourire le lecteur. On relève également l'anaphore du « Pauvre homme » alors que Tartuffe va pour le mieux. Orgon apparaît comme abêti par Tartuffe. Dorine rit de son maître, elle exagère énormément la maladie d'Elmire grâce à un champ lexical hyperbolique : « souffrir la saignée ». En même temps, elle dresse le portrait de Tartuffe : « gros et gras », « bouche vermeille ». En tenant ce discours, elle présente Orgon de manière