Tavail sur le siècle des lumières
Première partie :
1) Le XVIIIème siècle est appelé le « siècle des Lumières » car c’est la période où des idées d’égalité et de justice apparaissent. La société développe un nouvel esprit plus critique : il y a des mutations et des contestations sociales. Certaines personnes veulent s’exprimer librement, pour la plupart d’entre eux, par écrit, mais ils doivent faire face aux censures et aux sanctions (c’est pourquoi certains utilisaient l’implicite). Ils sont appelés les « philosophes des Lumières » car l’expression « siècle des Lumières » est une métaphore puisque le XVIIIème siècle est comparé à une lumière : il consiste à éclairer les valeurs de l’Homme et les philosophes représentent les auteurs. 2) La société du XVIIIème siècle est définie comme « une société en crise » et une « société inégalitaire » constituée de « trois ordres » qui est une « monarchie absolue » mais qui a « un nouvel esprit plus critique » où le « pouvoir abusif de l’Eglise catholique » est critiqué. Les Lumières refusent « de penser le monde selon une conception chrétienne » donc des « idées nouvelles d’égalité et de justice germent ». Ils examinent « aux lumières de la Raison », « veulent se rendre utiles ». Ils « réclament la suppression des privilèges » et « l’égalité de tous devant la loi et l’impôt », et « combattent contre l’esclavage, les emprisonnements arbitraires et la torture ».
3) a. Des genres littéraires, tels que des contes philosophiques, des pièces de théâtre, des poèmes, des essais, des romans (dont le roman épistolaire), sont développés pour déjouer la censure.
b. Il y a des romans épistolaires tels que Les lettres persanes, de Montesquieu (CF : texte 2, 3, 4, 5), ainsi que des contes philosophiques tels que Candide de Voltaire (CF : texte 9, 10), des pièces de théâtre, notamment avec le monologue de Figaro dans Le mariage de Figaro, de Beaumarchais