Td civil
Après un jugement de première instance appel a été interjeté devant la Cour d'Appel de Grenoble. Celle ci rend un arrêt le 17 mars 1994 et annule le contrat de location pour défaut de cause car la cause du contrat était la diffusion des cassettes or la création de ce vidéo club était voué à l'échec. La Cour d'Appel rappelle que dans un contrat synallagmatique la cause de l'obligation d'une partie réside dans l'obligation de l'autre partie en l'espèce c'est la mise à disposition de cassettes vidéos. Insatisfait de cette décision la société DPM forme un pourvoi en cassation, en se fondant sur un moyen unique, composé de deux branches.
La Cour de cassation devait donc déterminer si le contrat conclu entre les époux Piller et la société DPM était dépourvu de cause.