Kant, nous allons commencer avec un élément de transition qui a ses forces et ses faiblesses. Cela va permettre de cerner comment on passe d'une éthique a une autre mais ça a ses faiblesses parce que ça classifie peut être un peu trop les auteurs.
Idée platonicienne que c'est l'idée de façonner l'éthique qui participe a façonner l'ordre, tout un ensemble d'éléments relatifs à la nature, au cosmos.
Avec Kant on entre dans la pensée des lumières, chez lui agir moralement ce n'est pas suivre les enseignements de la nature, la vertu chez Kant au contraire ça sera la morale. Pour Kant c'est une lutte contre la naturalité qui sommeille en nous. Etre moral c'est plus l'idée d'un fonctionnement excellent, une fonction propre. Mais être moral ça veut dire atteidnre un certain niveau de moralité avec des arrachements à nos penchants.
Il y a un problème qui apparaît, on ne voit pas bien sur quoi Kant va pouvoir fonder l'éthique: la nature, le cosmos a perdu son autorité. Est ce que ça veut dire qu'on a perdu cette possibilité d'une organisation de l'éthique, de la morale. Mais Kant va fonder cette idée d'ordre commun autre que sur celui de la nature. Il va parler du «règne des fins». Çà s'oppose au règne de la nature mais Kant dit que l'homme appartient au Dieu mais en temps qu'être de raison il appartient au règne des fin, qui est le règne de la liberté. C'est l'idée d'un régime de liberté au sens ou les principes moraux seront l'objet d'un choix libre et purement rationnel. C'est comme cela qu'on va chercher la possibilité de fonder la morale, quand bien même on a perdu l'autorité de la nature.

→ fin de la transition qui caractérise l'Antiquité, pour passer à la Modernité.

Lecture obligatoire, la métaphysique des mœurs (1 ère partie).
1795: application Antique de cette théorie. (doctrine du droit, doctrine de la vertu): Kant s'intéresse à ce qui régule les rapports des hommes les uns entre les autres.

Nous ce qui va nous intéresser c'est la fondation de la