ment les seconds écrans sont-ils utilisés par les auditeurs? Qu'est ce que cela implique sur les médias?

Les seconds écrans comprennent plusieurs choses : les tablettes tactiles, les Smartphones, les ordinateurs ou encore les jeux vidéos. Si ils ont des propriétés et des capacités différentes des médias "classiques" (radio, télévision et presse écrite), ils peuvent se muer en substitut de l'information.

Avec une connexion internet il est aujourd'hui très simple d'aller aux nouvelles, que ce soit dans le sport, l'international ou le hippisme du Loir-et-Cher. De nombreuses applications pour tablettes et Smartphones ont vu le jour, gratuites, proposant même des "alertes news" pour être connecté 24 heures sur 24. Mais les grands groupes de médias ne sont bien entendu pas dupes; il est hors de question de diffuser de l'information sans en tirer un moindre profit. Alors oui, forcément, votre application gratuite contient des publicités assez lourdes; oui, les grands journaux proposent un abonnement à leurs quotidiens, quasiment au même prix que la version papier. Ces critères contribuent peut-être à la survie des médias classiques, bien que les seconds écrans soient plus une alternative qu'une solution de remplacement. Une statistique vient étayer cette idée: c'est dans le site spécialisé dans la chronique de l'information Méta-Média que ce chiffre, qui vient éclairer notre sujet, se trouve.
"Tous les chiffres d'usage convergent pour indiquer que plus des trois-quarts des gens consultent désormais un autre écran quand ils regardent la télévision. Et aux Etats-Unis, 40% le font déjà tous les jours. Parmi eux : 40% cherchent des infos supplémentaires sur le programme TV, 20% font des courses en ligne et 46% consultent les réseaux sociaux."
Le site, en plus de nous donner cette statistique étonnante, nous découpe même les différentes tâches exécutées. Les 46% adeptes des réseaux sociaux font vraisemblablement partie de la "classe jeune", lorsque les courses en