Texte argumentatif sur les standards de beauté
De nos jours, nous pouvons dire que notre société et les médias influencent grandement nos choix et nos jugements. Les critères qu’ils nous imposent ont cependant un impact sur la population. Ce fait m’amène à vous poser la question suivante, les hommes et les femmes vont-ils trop loin pour atteindre les standards de beauté ? À mon égard, je trouve que oui. Tout simplement parce qu’ils modifient leurs corps ou encore, se rendent malade physiquement et mentalement pour atteindre l’idéal.
Premièrement, à la place de mettre l’accent sur la confiance en soi, certains ont recours à la chirurgie plastique ou esthétique. Au Québec, une centaine de chirurgiens-plasticiens pratiquent chaque année plus de 20 000 opérations de nature « esthétique ou cosmétique », un marché évalué à 40 millions de dollars, rapporte la Gazette des femmes, en mars 1994. Vous voyez, Monsieur Réjean Hébert, le nombre d’opérations est énorme, et celui-ci a inévitablement augmenté. Cela signifie un nombre élevé de personnes qui se sous-estime. La peur d’avoir honte, de ne pas être aimé comme ils sont, d’être rejeté les poussent à subir de telles interventions. Ces individus veulent à tout prix ressembler à l’image que projettent les médias, d’autant que les consommateurs de notre société achètent des biens et des services derniers cri, même si ils n’en ont pas besoin. Ils veulent seulement être à la mode. En bref, je trouve que l’obsession de la beauté de la population devient abusive pour subir une chirurgie.
Deuxièmement, il n’y a aucun doute Monsieur Réjean Hébert, que détériorer sa santé pour but de parvenir à l’idéal, en se privant de nourriture, est exagéré. Ces victimes souffrent d’anorexie. Cette maladie signifie ‘’perte d’appétit’’ en grecque, mais une personne atteint d’anorexie mentale au sens connue du terme, n’a pas forcément une perte d’appétit, elle ne veut juste plus s’alimenter.1 Contrairement à ce que l’on