La Fessée La fessée a été considérée pendant plusieurs siècles la punitions exemplaires lors de l’éducation. Cependant, depuis quelques décennies déjà, la question fait polémique. En effet, les droits de l’homme et les institutions pédagogiques ont banni cette forme de violence de l’éducation scolaire et, à présent, on questionne aussi la nécessité de ce geste dans le cadre familial. Pour ma part, bien que je n’aie jamais été mère, je suis totalement contre le fait d’éduquer ses propres enfants en utilisant des punitions corporelles car je ne pense pas que cela soit la juste solution.
Premièrement, les enfants ressentent la fessée comme une humiliation et ce sentiment n’aide pas à se construire et à avoir de l’estime pour soi-même. Peu à peu, ils perdent confiance en eux et surtout en leurs parents. Ils grandissent en pensant d’être de mauvaises personnes. Les parents doivent être à leur écoute et surtout les respecter. N’importe quelle relation ne peut être agréable sans le respect et la confiance mutuel.
De plus, les enfants ne comprennent pas forcément le but de ce geste. Moi, par exemple, chaque fois que mes parents utilisaient cet acte de violence, je pensais seulement qu’ils étaient méchants et je ne réfléchissais pas à ma bêtise. En revanche, si le parent réprimande son enfant et lui explique l’impact de son erreur, ce dernier sera peut être triste mais au moins il aura compris la leçon. Franchement, je pense que le dialogue et le meilleur moyen d’éduquer sa progéniture.
En dernier lieu, les bambins sont, pour la plus part du temps, très naïfs et prennent l’exemple des «grands» de leur entourage. Etant donné qu’une fessée est une forme de violence, les enfants penseront « Si mon père et ma mère le font, je peux aussi le faire ». Donc, ils auront tendance à utiliser ces mêmes gestes dès qu’un des leurs amis ou camardes les énervent. Il est préférable de leur apprendre comment régler un conflit sans l’aide de la force physique.
Pour finir, j’aimerais