Texte Argumentative
Dans les dernières semaines, des anciens joueurs de la ligue nationale de hockey ont lancés une poursuite contre la LNH. Les dix joueurs, au départ, rapprochaient à la LNH d’avoir caché des informations sur les commotions cérébrales. Ces joueurs souffrent toujours de symptôme. Aujourd’hui, les poursuivants seraient rendus à plus de 200 anciens joueurs. Il n’y a pas si longtemps, les mises en échec à la Scott Stevens, où on recherchait un contact à la tête au centre de la glace, faisaient partie intégrante du spectacle. Présentement, un joueur qui commet un geste visant à blesser quelqu’un, reçoit en moyenne entre 2 et 4 matchs de suspensions, alors que le joueur blessé peut être à l’écart du jeu plusieurs mois. Ce qui nous apporte à la question : Devrions-nous punir plus sévèrement les gestes intentionnels de blessures dans les sports? La réponse est oui, surtout si nous regardons les impacts de ces blessures dans les domaines de l’économie et de la santé.
Premièrement, nous devrions punir davantage les gestes disgracieux dans les sports, car ils apportent une charge économique à l’organisation du joueur blessé, à la ligue et aux commanditaires. Lorsqu’un joueur se blesse, l’équipe de ce joueur doivent continuer à payer le salaire du joueur, qui nous le savons gagne de grosses sommes d’argent. L’équipe doit aussi payer les soins de santé pour remettre le joueur le plus vite possible sur pied et même dans le cas de gros joueur, elle peut voir ces ventes de billets diminuer, car certains spectateurs ont peur de payer et de voir le niveau de spectacle diminuer dût à l’absence du joueur. La ligue eue souffre de la vente des chandails, un partisan n’achète pas un chandail d’un joueur qui ne jouera peut-être plus. Si nous prenons par exemple, la blessure qu’à subis Sidney Crosby le capitaine et superstar des pingouins de Pittsburg. Le 1er Janvier 2011, Crosby a subis une commotion cérébrale qui lui a fait rater le reste de la saison. Cette année-là,