Hume nous expose l’idée de l’existence de Dieu. Son existence pose plusieurs questions, comment dire que Dieu existe ? A quoi ressemble-t-il ? En effet penser que Dieu existe, c’est penser que le monde a un sens et que les êtres vivants ont une fonction. Donc pourquoi avoir cette présence d’être humain ayant un début et une fin dans le monde ? Est-ce logique de dire que c’est Dieu ?
L’enjeu est important sur ce sujet. Comment savoir si Dieu existe ? Alors comment explique-t-on notre existence ? Si nous n’avions pas eu de fonction, de sens, est-ce que nous serions toujours des vivants de ce monde ?
On s’amène à dire que cette organisation a un but. Et pour expliquer ce but Hume procède en deux façon ; tout d’abord dans une première partie (ligne1 à la ligne9) le monde est comparé à une machine et dans une seconde partie (ligne 9 à la fin) en quoi son raisonnement permet de dire que cette « intelligence supérieure » a une similitude par rapport aux Hommes.

Hume nous présente le monde comme une machine. Dire que le monde est une machine c’est lui attribuer une fonction donc lui donner un sens, qui a une finalité. En effet si l’on prend cette « grande machine » qui se divise en « un nombre infini de moindres machines » c’est imaginer les Hommes qui forment un engrenage très complexe afin de fonctionner correctement et en même temps pour aboutir à un objet final. Pour les Stoïciens, c’est presque pareil. En effet, si l’on observe se qui se passe dans le monde, on peut remarquer qu’il existe un ordre de fonctionnement, comme pour des machines, capable d’aboutir à un but précis. Donc qu’il existe une parfaite complémentarité pour atteindre le résultat. Qui aurait pu faire bien adapter, entre eux, les être vivants pour qu’ils aient un but ? Pour Hume, cette image du « monde-machine » fait intervenir l’idée d’une perfection et donc l’existence d’une Raison supérieure qui a pu organiser un tel système ingénieux dans le but de laisser aux hommes une contemplation qui «