texte de pascal
L'amour est un thème universel de réfléxion comme on peut le constater à travers les littératures de toutes les cultures, si nommer la personne qu'on aime est simple, il n'est pas toujours évident de déterminer qui l'on aime. On a pour habitude de penser que c'est la personne qu'on aime et non ses apparences. Or, il est difficile de saisir le moi, voir impossible. En l'occurrence, dans la vie sociale, s'en tenir au apperences serait -il plus sage de façon générale ? Voilà donc le problème exposé par Pascal dans ses Pensées. L'auteur veut démontrer que les qualités d'une personne et non la personne elle même sont à l'origine de l'amour. Mais il aborde aussi le fait que l'honneur de certains soit mise en avant pour leurs actes sociales et non pour leurs personnes. Toutefois, une personne n'a pas d'identité fixe, serait-elle donc l'ensemble ou la série de ses qualités ? A partir de ce moment, peut on penser qu'on est nous même dans une ou quelques une de ses qualités ?
On verra dans un premier temps en quoi les qualités qui font aimer peuvent impliquer de ne pas aimer la personne. Puis dans un deuxième temps, nous aborderons en quoi Pascal pense que les qualités involontaires de la personne font que celle ci puisse être aimé et si il est possible ou non d'en distiguer la personne. Enfin, nous verrons si l'honneur procuré par un rôle social est ridicule ou non.
Pascal commence par analyser un motif d'amour qui semble évident, à savoir la beauté de la personne. Or, l'auteur explique qu'un tel motif implique la personne elle même n'est pas aimé. Etant donné que la beauté est un caractère accidentel de la personne et non son essence ou sa substance. Il prend l'exemple d'une maladie, la petite vérole ou autrement appelé variole, qui procure des changements physique nottament au niveau de la peau, laissant des pustules, en l'occurrence supprimant une certaine beauté de la personne. Néanmoins, la beauté disparu