Texte premiere
Par les textes A et C on comprend que ces repas sont exceptionnels et qu’ils compensent les jours de disette. Chacun avec une méthode différente, dans le texte A on note l’excès que caractérise le repas de noce (plats, attitude et exagération des personnages) « La blanquette » ( l.1), « morceaux de veau » (l.3), « épinée de cochon » (l.7), « pommes de terre » (l.12)… « mastiquer ferme » (l.1), « œil oblique » (l.10), « bouche pleine » (l.11)… « un incendie dans le ventre » (l.7), « un coup d’arrosoir » (l.13). Alors que le texte C démontre que du simple chocolat et du vin peuvent devenir des mets exceptionnels « c’était le plat de résistance » (l.2), « les yeux pétillaient » (l.4), « chacun aura son verre » (l.10), « c’est épatant » (l.18). En revanche les textes B et D révèlent que les personnages sont habitués à manger des plats riches et élaborés et pourtant ils ne souhaitent que des mets simples. Dans le texte B la richesse des plats servis chaque jour nous laisse supposer que les personnages sont d’un milieu aisé : « langoustine » (l.4), « l’anguille tartare » (l.5), « choux et des saucisses » (l.5). Tandis que dans le texte D le choix des plats