Texte sur germinal
« Dans la pleine » → « les mains »
Intro:
Vie de Zola (19ème) + Rougons-Macquarts + représentation de la classe ouvrière.
Ouverture du roman sur un personnage seul, un décor plat (plaine). Le personnage que Zola nous décrit n'est pas nommé (un homme seul).
ANNONCE DU PLAN
LECTURE EXPRESSIVE
Le regard adopter par l'auteur et la tonalité.
a) Un regard omniscient.
→ Texte mené à la 3ème personne.
→ Le narrateur connait les détails du voyage dès le départ « il était partit », il connait aussi les pensées du personnage, son passé, ses sensations.
b) Il y a en outre une focalisation interne (l'auteur voit a travers les yeux du personnage)
→ « il aperçut »
L'auteur rend la description partielle, imprécise, incomplète : La description est faite par les yeux de Lantier qui voit dans la nuit avec des yeux fatigués.
→ L'ensemble reste imprécis, flou, nome sans donner de nom précis « une masse lourde » → corons. Il ne voit pas ce que c'est « spectacle », « tas écrasé », « silhouettes », « vaguement » : impression de flou total.
→ L'auteur montre la surprise, l'incompréhension, l'ignorance à une perception incomplète.
c) Le registre dramatique → tragique.
Dès le début, les couleurs annonces une suite pas comique mais plutôt dramatique.
→ La solitude : Un homme seul contre une nature hostile (froid, vent...)
→ L'inconnu va à l'inconnu. + Vocabulaire de la tragédie : « saigner », « crainte », « brasier », brûler », « noyer »...
Champs lexical : mort, enfer.
Lantier est comme un être arrivant aux enfers ( yeux rouges )
Couleurs principal de ce début : noir → nuit, rouge → feu.
Début du roman = Sombre.
Les indices du réel
Description très précise d'un personnage, d'un lieu.
a) Le paysage
→ Nord de la France « pleine rase », platitude, betteraves, obscurité : la nuit.
→ Série d'indications géographiques : « à gauche », « depuis une heure », « 200 pas », « un coude de chemin », « 5 ou 6