Texte sur histoire
J’ai lu avec dégoût, mais sans surprise, les commentaires orduriers du quotidien arabophone « Ennahar » dont on connaît bien par ailleurs les penchants naturels pour le caniveau, la haine et l’appel au meurtre régulièrement lancé contre des hommes de progrès algériens. Ce journal s’étant déjà distingué par le passé dans sa UNE par l’appel au meurtre de l’auteur de « POUTAKHINE » première indignation et premier cri de révolte littéraire des printemps arabes. Le propriétaire caché d’Ennahar avec son journal de vendus et de voyous, financé, distribué et soutenu par l’Etat algérien c'est-à-dire avec l’argent du contribuable, a appelé dans ses colonnes à la mise à mort de Mehdi El-DJEZAIRI, l’auteur de POUTAKHINE. Le plus cocasse dans l’histoire c’est que la journaliste du journal insulteur n’a jamais lu le livre. Pour mémoire, rappelons que ce quotidien a été créé en quelques jours, novembre 2007, pendant que d’autres attendaient et attendent toujours, depuis des années leur récépissé de dépôt de dossier indispensable à la création d’un titre. Simple hasard ou connivences criminelles entre mercenaires bien connus et propriétaires du pouvoir?
Ce torchon de journal, visiblement animés par des multi récidivistes, journalistes corrompus jusqu’à l’os ; des baltaguis comme il se dit, a cru ou croyait devoir insulter M. Ghazi HIDOUCI en le traitant de Juif. Il n’a pas écrit « sale juif » comme on écrit habituellement « sale arabe », comme l’écrivaient habituellement les fascistes de l’extrême droite ou comme le suggèrent souvent les autres fascistes des droites de l’extrême ; islamistes compris. Non, il a tout simplement écrit de M. HIdouci qu’il était Juif. Et c’est suffisant à leurs yeux, suffisant que cette seule qualité de Juif, apparaisse comme une insulte et une infirmité incurable et disqualifiante à jamais. J’ai personnellement honte qu’un journal algérien ou supposé comme tel, puisse écrire ce genre de choses barbares sans