Texte d’elizabeth l. eisenstein, la rév° de l’imprimé à l’aube de l’europe moderne, chapitre 3
thèse défendue = pour la société occidentale, l’imprimerie et le recours de + en + large à l’écrit imprimé ont représenter une discontinuité fondamentale dont les effets sont repérables dans tous les domaines de la vie sociale et intellectuelle. Pour désigner une telle rupture, EISENSTEIN multiplie les expressions : l’imprimerie constitue une « communication revolution » ou « media revolution » il s’agit d’un point de démarcation qui ouvre une nvelle aire culturelle.
La tâche d’EISENTEIN se donne = inventorier les innombrables changements intellectuels, religieux, psychologiques…, induits par le maniement de l’imprimé
Elle établit sans cesse une opposition radicale entre les moines copistes qui font bcp d’erreurs et l’imprimerie qui est une rév°
Les ss titres aident à se repérer ds son discours. La 1ère phrase annonce la thèse fondamentale de l’ouvrage « Etant admis qu’un rév° de la com s’est produite à la fin du 15ème siècle, en quoi a-t-elle affecté les autres dvpts historiques ? »
Elle dvpe sa position par rapport à d’autres travaux qui « se contentent d’évoquer brièvement la diffusion relativement large des ouvrages humanistes ou des brochures protestantes » (l.4-5) ó cela montre son désaccord. La technique est brièvement évoquée ó l’avancée technologique est minimisée par les autres historiens et elle n’est pas d’accord.
1. Une large dissémination
Elle s’interroge sur un terme souvent utilisé par les historiens : dissémination. à ce terme selon elle n’est pas tt à fait pertinent, cependant elle nie pas le phénomène de dissémination mais pr sa part, au-delà d’une dissémination il y a un bouleversement des pratiques au niveau de la société ó elle va le démontrer à pr cela elle cite plusieurs exemples :
- p.62 fin du 1er paragraphe : au Moyen Âge les savants se déplacent pr consulter un livre et ils voyagent pr lire ms après l’invention de