Texte oral francis ponge
Pour justifier cette admiration, le pain est associé au panorama d’un relief montagneux considérable et important : l’adverbe « d’abord » introduit cette justification et « à cause » met en avant la raison. Ainsi, ce qui est petit (le pain), devient immense (chaîne de montagnes). En effet, l’adjectif « panoramique », rappelle que l’on regarde quelque chose de large. « comme si » met en évidence une comparaison hypothétique suivit de « sous la main » malgré qu’il s’agisse de quelque chose d’immense et de lointain. Ainsi, cette « surface du pain » semble ressembler à l’ensemble de l’écorce terrestre comme le montre l’énumération « les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. » Cette première phrase présente le pain en le …afficher plus de contenu…
Il débute par une périphrase désignant la mie « ce lâche et froid sous-sol », le « froid » étant en opposition avec la chaleur du four dans le paragraphe précédent. Par la suite on retrouve des comparaisons avec notamment l’apparition du champ lexical du vivant, des animaux « pareil à des éponges ». On retrouve notamment le champ lexical de tout le vivant avec « fleurs » « feuilles » pour le végétal et « éponges » et « sœurs » pour l’animal, ce qui vient contraster avec la vision extérieure d’une nature inanimée. La comparaison « comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois », donne une vision effrayante de cette mie. De plus l’allitération en s créer un effet de prolifération dans la mie. La phrase suivante qui débute par une subordonnée