Texte sur l'art et la mondialisation
Premièrement une œuvre d’art ne suffit pas à elle-même, elle s’adresse à un publique et elle lui parle. La langue n’est pas la langue vernaculaire, elle est langue symbolique. Le symbole est le lieu même de l’inconscient qui ne s’exprime que par des symboles. Interpréter l’œuvre c’est la rendre vivante c’est donner sens à ces symboles et au contraire prétendre que l’œuvre et le produit isolé et incompréhensible d’un génie c’est d’une manière tuer l’œuvre d’art au prétexte de la glorifié. L’œuvre n’est pas objet silencieux, elle nous parle et parle de nous. C’est pourquoi elle ne peut pas se passer d’interprétation.Deuxièmes, dans son esthétique, Hegel propose une tout autre conception de l’œuvre d’art. Bien sûr il conserve sa dimension esthétique ; Rien n’est beau dans la nature, parce que « rien n’y a été composer pour un œil capable …afficher plus de contenu…
Les vraies chaussures ne sont pas à nos pieds mais sur une toile de Van Gogh, va nous forcer à les regarder. Nous écrasons les choses autour de nous pour leur utilité. Notre rapport au monde est essentiellement utilitaire. L’œuvre d’art nous montre les choses en les délivrant de leur utilité, elle nous les montre comme nous ne les avons jamais vues, dans leur essence.Proposez un exemple dont ne parle pas Goodman et analysez le grâce a la distinction proposée (être de l’art / fonctionner comme de l’art)L’exemple que j’aimerais parler est celui de l’artiste Maurizio Cattelan et plus précisément de son œuvre « Comedian » ou il colle une banane à un mur avec du sparadrap gris. Cette œuvre manifeste beaucoup de critique sur sa valeur artistique de plus qu’elle a été vendue pour 120.000$. On