La France envahie par le textile chinois!Depuis 1974, en France, nous repoussons sans cesse le textile chinois par les fameux Accords Multi-fibres (AMF). Il y a dix ans nous nous sommes crée une date butoir à cette abolition des quotas qui comme prévu a eu lieu en 2005, moment avant lequel personne ne se souciait de cette suppression des barrières mais qui maintenant qu’ils sont mit en œuvre font beaucoup de vagues. Cette abolition à la fois des contingentements et des taxes douanières a été considéré par nombre d’hommes politiques, et par un souci de démagogie évident, comme une « invasion », un « tsunami ». Il est facile de se mettre du côté du peuple et de se rallier aux « égoïsmes sacrés » dont F. List fut un des promoteurs. On nous présente ce pas en avant vers le libre-échange comme étant presque une catastrophe écologique. Alors que les gouvernants le savaient naturellement. Le problème est que depuis trente ans, les chinois attendent et ont bien sûr eu le temps de produire en quantité très importante des produits textiles. Le fait est que cet exemple de libre-échange est d’autant plus brutal que les chinois ont dormais dans les « starting block » leur marchandise à écouler. N’aurait-il pas été plus intelligent d’abolir les quotas il y a trente ans? Plutôt que de ré-instaurer des mesures protectionnistes tous les 4 ans comme ce fut le cas, il aurait mieux value laisser faire librement le commerce international, ce qui aurait permis au secteur du textile français de se reconvertir.C’est contre ce phénomène « injuste » que l’on voit apparaître des « M. Prohibant » comme le définissait F. Bastiat demandant au gouvernement et à sa « grande machine à faire des lois » de lutter le plus vite possible contre cette invasion chinoise; contre un chômage assuré pour des milliers des personnes. Il est évident qu’étant donné le coût beaucoup plus intéressant des produits chinois (ex : des T-shirts à 50 centimes d’€!), au lieu des 150 000 personnes qui travaillent en