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- Où un monsieur va-t-il ?
- à donner un tour(coude). Il(Elle) fait beaucoup de chaleur.
- Hum, tout est déjà fermé. Et voilà qu'il(elle) n'a pas enfanté ici. Il(elle) il valait de rester plus.
J'ai levé(Ai élevé) les épaules, ai marmotté "maintenant je reviens" et je me suis mis à l'obscur. Au commencement il(elle) ne voyait rien. J'ai marché à tu tâtes dans la rue pavée. J'ai allumé une cigarette. De tôt elle est sortie, la lune d'un nuage noir, en illuminant un mur blanc, éboulé aux intervalles. Je me suis arrêté, je deviens aveugle devant tant de blancheur. Il(elle) a soufflé un peu de vent. J'ai respiré l'air des tamarins(tamariniers). Il(elle) vibrait la nuit, il(elle) est plein des feuilles et des insectes. Les grillons vivaqueaban entre les hautes(grandes) herbes. J'ai levé(ai élevé) le visage : il(elle) arrive aussi ils(elles) avaient établi un campementles étoiles. J'ai pensé que l'univers était un vaste système de signaux(marques), une conversation entre des êtres immenses. Mes actes, la scie du grillon, le battement des paupières de l'étoile, n'étaient pas mais des pauses et des syllabes, des phrases dispersées de ce dialogue. Quel serait ce mot duquel j'étais une syllabe ? Qui est-ce qui dit ce mot et à qui la dit-on ? J'ai jeté la cigarette sur la banquette. Après être tombé, il(elle) a décrit une courbe lumineuse, en lançant de brèves étincelles, comme une comète minuscule.
J'ai marché un long moment, lentement. Je me sentais libre, sûr entre les lèvres qui dans ce moment me prononçaient avec tant de bonheur. La nuit était un jardin d'yeux. Après avoir croisé la rue, j'ai senti que quelqu'un se détachait d'une porte. Je me suis retourné, mais je n'ai pas deviné juste à ne rien distinguer. J'ai serré le pas. Quelques instants j'ai perçu