Thérèse philosophe - resume
TOME I
Thérèse écrit une lettre adressée à un certain compte. Elle lui raconte sa vie.
Petite fille, Thérèse était déjà très portée sur la sexualité. Avec ses camarades d’école, elle se livrait à des jeux sexuels qu’ils croyaient innocents. Elle avait aussi la manie de se frotter le clitoris avec la main et quand sa mère s’en est aperçue, elle a puni Thérèse et l’a envoyée chez un Abbé qui lui a raconté que le sexe des garçons était un serpent prêt à bondir, qu’il était l’ennemi des femmes et qu’elle ne devait jamais plus s’en approcher.
Thérèse, devenue religieuse, se voulait vertueuse au possible et a toujours appliqué ces conseils à la lettre. Jusqu’au jour où elle devint religieuse pour le Père Dirrag. Elle se lia alors d’amitié avec une autre religieuse nommée Eradice. Celle-ci lui confessa que le Père Dirrag avait trouvé un moyen de faire d’elle la plus vertueuse en ôtant tout me mal en elle. Eradice invite alors Thérèse à se cacher pour voir comment le Père procède. L’abbé profite en fait de la crédulité d’Eradice pour la pénétrer régulièrement, allant jusqu’à éjaculer en elle. Les deux amies naïves en discutent et Thérèse aimerait jouir du même sort que son amie. Ce soir là, en proie à l’excitation, Thérèse se frotte le clitoris contre la barre de son lit au point de se blesser.
La mère de Thérèse est inquiète car différents bruits courent à propos du Père Dirrag et elle n’est pas convaincue que c’est quelqu’un de bien et que sa fille est entre de bonnes mains. Elle convie alors Thérèse, Mme C… et L’abbé T, et invite sa fille à se confier à Madame C.
Les deux femmes s’éloignent et Thérèse explique à Madame C tout ce qui lui est arrivé, ce qu’elle a vu et l’envie qui lui est venue ensuite. Madame C explique à Thérèse un peu plus tard qu’elle en a parlé à l’abbé T. et que Thérèse doit aller se confesser auprès de lui.
L’abbé explique à Thérèse que Le Père Dirrag est un homme qui s’est perdu, qu’il fait le mal car il