D’après le point de vue naturaliste, le comportement est un résultat d’influences innées et environnementales. On peut dire que ces deux influences sont naturelles, donc, comme Emile Zola synthétise dans Chapitre XI du roman Thérèse Raquin, “La nature aidait à la sinistre comédie qui venait de se jouer”. Alors, comment-aide la nature dans ce-cas-ci? Si on examine les influences innées, on trouverait les forces d’hérédité et d’instinct; et on observerait les forces de milieu et de circonstances dans le champ d’influences environnementales. Chacun des ces forces joue un rôle dans les événements qui se passent dans la vie de Thérèse et Laurent. L’hérédité n’est pas une force si important quant au comportement de Laurent. Le lecteur ne connaît presque rien sur la famille du homme d’une beauté sanguine. Laurent lui-même est décrit comme un paysan qui n’a pas du tout une relation amicale avec son père.
D’un autre côté, beaucoup de comportement de Thérèse peut-être attribuer à son ascendance. Par exemple, au commencement du liaison avec Laurent, “Tous ses instincts de femme nerveuse éclatèrent dans une violence inouïe; le sang de sa mère, ce sang qui brûlait ses veines, se mit à couler, à battre furieusement dans son corps maigre, presque vierge encore” (Chapitre VII). Encore après le meurtre de Camille, sa première quasi-hallucination dépasse son corps comme une maladie exotique, “Elle voyait toujours Camille et Laurent luttant sur le bord de la barque, elle apercevait son mari, blafard, horrible, grandi, qui se dressait tout droit au-dessus d’une eau limoneuse. Cette vision implacable activait la fièvre de son sang” (Chapitre XII). En fait, Thérèse est dans ce milieu et ces circonstances à cause de sa hérédité: “le capitaine Degans, lui apporta une petite fille dans ses bras. Il arrivait d'Algérie. —Voici une enfant dont tu es la tante, lui dit-il avec un sourire. Sa mère est morte… Moi, je ne sais qu'en faire. Je te la donne” (Chapitre II).
Comme on peut