Th Me 1 Le Rapports Des Soci T S A Leurs Pass
Introduction :
La France n’a pas joué dans la 2nd Guerre mondiale le même rôle que dans la première. Entre 1914 et 1918 les français était unit dans l’adversité et elle est clairement dans le camp des vainqueurs. Au contraire la France subit en juin 1940 une humiliante défaites et elle signe l’armistice le 22 juin 1940.
Biensur certains français ont refusé et sont entré en résistance mais il était peu la plupart des français était attentistes face à l’opposant et par ailleurs certains français ont collaboré avec l’Allemagne nazis certaine collaborations allait très loin (dénonciations, engagement militaire). Pendant cette période les français se sont divisés et dès la libération il y a eu la volonté d’oublier ce qui s’était passé. Des mémoires individuelles et collectives se sont construites mettant de côté les réalités historiques. La mémoire qu’elle soit individuelles ou collective n’est pas l’histoire. La mémoire est sensible elle peut se modifier en fonction des souvenirs. Elle est une source pour les historiens mais elle ne remplace pas l’histoire qui est une science humaine et sociale et qui cherche en tant que telle à définir la réalité à partir de l’étude critique et du croisement des sources. – Quelles mémoires le contexte de la libération et de l’immédiat après-guerre a-t-il engendré ? - Comment grâce au travail des historiens, les réalités du passé ont-elles resurgi plusieurs décennies après les faits ? - Quels rapports les mémoires et l’histoire des français dans la 2nd Guerre mondiale entretiennent-elles aujourd’hui ?
Après avoir montré dans une première partie comment le traumatisme des années de guerre et d’occupation a permis la mise en place de mémoires