Th Orie
*Le journaliste sportif : Il fait vivre en direct les événements sportifs et recueilli "à chaud" les réactions des athlètes et possède une vivacité d’esprit particulière.
Comme ses confrères spécialisés en économie ou en politique, il doit informer et relater les événements auxquels il assiste tout en apportant un regard critique. Doté d’une bonne culture sportive, connaissant parfaitement ce milieu et ses règlements, il peut traiter du sport dans son ensemble ou se spécialiser dans certaines disciplines. Ce métier fait beaucoup rêver les mordus de sport, mais on ne compte pas plus de 3.000 journalistes sportifs en France dans la presse écrite, à la radio, à la télévision, dans les agences de presse et sur Internet. La télé reste le média où l'effectif de journalistes est le plus élevé, devant les médias sportifs en ligne. La radio est très présente, mais il y a peu de radios sportives, hormis peut-être RMC Sport. C'est un métier sérieux et exigeant. Il faut aimer rechercher l'information, la recevoir et la transmettre.
Il y a des journalistes très connues tel Gérard Holtz, Pierre Mènes et Nelson Monfort avec une intonation tonique.
*Chargé d'étude des médias : Proche de la Direction des programmes, le chargé d’études média prépare le terrain pour contribuer à la stratégie de programmation d’une chaîne ou d’une station.
Sa préoccupation : les téléspectateurs et auditeurs. Qui et combien sont-ils ? Quels sont leurs goûts et habitudes ? Il analyse également les concurrents du média. Le chargé d’études joue un rôle stratégique dans la course à l’audience. L’étude préalable pour lancer une émission ou remplir une grille de programmation doit être solide et précise.
Pour cela, le chargé d’études analyse des données chiffrées de plus en plus pointues et doit savoir en tirer des synthèses pertinentes. Schématiquement, son travail peut se découper en deux temps :
Le travail d’enquête et de recherche sur le marché et les publics. Les