Theatre de voltaire et rousseau
Sujet: Voltaire, Rousseau et le théâtre
Introduction
L'opposition des deux pôles de la pensée françaises; Voltaire écrivain caustique et polémiste, symbole de l'aristocratie classique; Rousseau enfant torturé des idéaux moraux et misanthrope; l'article «Genève» et paroxysme des disputes des philosophes; «Lettre à d'Alembert» placarde contre de luxe et libertinage moral empruntés du théâtre.
1. Voltaire et l'eloge de l'art dramatique
L'enfant de la tragédie cornélienne et racinienne; Œdipe le commencement de la carrière dramatique; Amulius les premiers germe du talent dramatique; une fécondité théâtrale et chronologique(Adelaïde du Guesclin(1734), la mort de César(1735), Alzire, (1736), Zulime(1740), Mahomet (1741), Mérope (1743), Sémiramis (1748), Rome sauvée(1752) Tancrède (1760), L'Orphelin de la Chine (1755), Les Scythes (1767), et Irène(1778)); l'aristocrate et le partisan du luxe; les divertissements interdites par les Consistoires; la morale prêchée et les représentations théâtrales condamnées par les pasteurs; le gout contagieux de la parure, de dissipation et de libertinage; mécontentement des préjugés injustes et le statut des comédiens à la société
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2. Rousseau et critique du spectacle
La condamnation du théâtre immorale par la rigueur calviniste de Rousseau; la défense de la vertueuse république genevoise; une vaste argumentation pour montrer le rôle excitant de la tragédie à éveiller les passions dangereuses; le théâtre une peinture du vice qui ridicule la vertu; l'inversion des valeurs sociologiques au théâtre; le spectacle, l'expression de l'oisiveté, la jalousie et la rivalité; créer les fêtes populaires où les gens en gardent leurs saine simplicité; un problème de choix de société; l'inégalité des conditions oppose entre les hommes un double artifice nuisible à leurs relations; l'illusion du spectacle et le signe monétaire; l'argent engendre le besoin de briller, le luxe, le règne de l'apparence, et le spectacle alimente à son