Théophile gauthier et le compte rendu
« L’esprit humain, même le plus éclairé, garde toujours un coin sombre, où s’accroupissent les hideuses chimères de la crédulité, où s’accrochent les chauves-souris de la superstition. La vie ordinaire elle-même est si pleine de problèmes insolubles, que l’impossible y devient probable. On peut croire ou nier tout : à un certain point de vue, le rêve existe autant que la réalité. » p.426.
Son rêve était en quelque sorte la réflexion de sa peur dans la vraie vie.
Bibliographie :
Théophile Gautier, « Jettatura », Récits fantastiques, Paris, Flammarion, 1981, p. 426.
Théophile Gauthier, « Onuphrius », Contes