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988 mots 4 pages
Francine Hérail, la cour du Japon à l'époque Heian (pp.47-73)
Synthèse :
A la fin du IXème siècle, dans la résidence impériale, se trouvait un grand tableau où était énuméré les activités prescrites à la cour. La cour avait compilé deux règlement : le règlement relatifs à chaque organe administratif (travail quotidien et finance de chaque services) et le règlement du palais intérieur (concerne surtout tout ce qui touche au cérémoniel). Ces deuxième manuels sont rédigé par les plus hauts dignitaires. Fin Xème siècle les règlements admistratifs sont beaucoup moins consulté que les règlements du palais intérieur. L'ouvrage le plus consulté et le Saikyûki. Il contient de nombreuses informations, comme un calendrier des célébrations avec une liste détaillé du contenu de chaque rite/cérémonie. De même il explique comment rédiger des ordres impériaux.
Il devient un modèle définitif à ce genre d'ouvrages. Il a d'ailleurs été continué, après la mort de
Takaakira (auteur), par d'autres auteurs. D'autres manuels furent écrits et on y retrouve toujours la mise en évidence de la hiérarchie, mais jamais n'est expliqué les raisons et le sens des gestes accomplis et des dispositions.
Parmi les rites annuelles une grande partie sont des rites shinto (même si à la plupart des célébrations l'empereur n'y participe pas) et une très petite partie sont des fêtes bouddhistes (malgré le fait que le bouddhisme est la religion la plus pratiqué). Selon ce qu'on désire on utilise différents rites : pour manifesté l'ordre du pays se sont les rites de cour inspiré du chinois ; pour rappeler le lien entre l'empereur et les divinité c'est les rites shinto ; et pour demander secours/bonne santé (et autre) se sont les rites bouddhique. Au XIème siècle les textes cérémonial avaient une place plus importante pour les hauts dignitaires que les textes législatifs. Ceci est due aux lettrés qui ont promus les valeurs politiques de la Chine pour arriver à avoir au Japon cet idéal

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