Géographie des conflits environnementaux, d'usages et d'aménagements.

Le conflit du Tipnis et la Bolivie d’Evo Morales face à ses contradictions : analyse d’un conflit socio- environnemental (Laetitia Perrier-Bruslé)

Le terme de conflit socio-environnemental est de plus en plus utilisé aujourd’hui pour qualifier des conflits sociaux et politiques qui ont pour origine la question de l’utilisation et de la propriété des ressources naturelles ou environnementales.

Acteurs
Territoire
conflits
Nature
-Etat av le gvt d’Evo Morales
-groupe ethnique/ pop sédentarisée : 7 000 et 12000 indigènes natifs, regroupés en 64 communautés de trois ethnies différentes – les Moxeño- Trinitarios, les T’simanes et les Yuracarés se partagent la majeure partie du parc.
-Des colons : en périphérie, quelques 15 000 colons qui se partagent 125 000 hectares Indiens quechuas venus de l’Altiplano à partir de 1983, ils sont descendus du Chaparé voisin, la zone de production de coca située sur les piémonts andins, pour profiter des terres libres du Tipnis.
- gouvernance locale. Depuis les années 1990, les indigènes dans toute l’Amérique du Sud se sont constitués en acteurs politiques. De leurs luttes, ils ont obtenu non seulement une reconnaissance culturelle et ethnique (actée par la Constitution de 2009 qui fait de l’État bolivien un État plurinational), mais également des droits de propriété sur les ressources de leur territoire. 


-Brésil.
-ONG X 61 (lettre ouverte au président)
-op mondiale/ médias.
-politique : enjeu de puiss pour l’Etat, zone d’influence du Brésil.
-éco : La tension est évidente entre ces colonisateurs, cultivateurs de coca, et les populations originaires, souvent sédentarisées, qui font de l’agriculture tout en utilisant aussi les ressources de la forêt (bois, gibier) + Entrep brésilienne pour la construction, banque brésilienne pour le financement+ contrôle par le gvt du front pionnier : Or, pétrole, bois.
ONG, op mondiale : territoire sanctuaire.
-polit :