Torture
Dictionnaire Philosophique : article "Torture"
La torture était une pratique judiciaire courante pour le bien de l’âme, car sauver l’âme était plus important que sauver le corps
Le bourreau devait officier sans haine: impossible. Aucune religion ne peut justifier la torture
La torture entre alors dans un contexte général.
I La question dans les différents contextes Vocabulaire
Différentes dénominations : Grande torture (fractures), petite torture (sans fractures), l’expérience, la question
Chirurgien : personne assistant aux tortures, médecin de l’époque qui avait une mauvaise considération : chargé de la santé
Au XVIII achat des droits pour officier (Ancien Régime) : armée, la justice et Torture, pratique ouverte à tout le monde du moment que les moyens financiers suivent.
Contexte
Historique : comparaison avec les romains (sénateurs et conseiller de la Tournelle): Opposition d’une civilisation remarquable - à un magistrat d’une chambre criminelle. Le conseiller est associé à « hâves », « pâles », « cachot » (version dévalorisée de la prison) le mot « plaisir » (4) forme une antithèse avec les autres qualificatifs : sadisme.
Vie Privée : -la torture entre dans les mœurs : sujet de discussion banal : pendant les repas. Problème de la vénalité des charges : achat de la charge : affaiblissement de la fonction : « conter à dîner ». Acceptation tranquille de la société, participation avec enthousiasme, même : jets d’objets sur condamné Phénomène qui fait passer l’information de la justice à la société, communication complète et régulière entre les deux. Le début de la révolte et de l’indignation a débuté avec l’affaire du chevalier de la Barre.
Politique : Canada pris par les Anglais : ironie, forme anecdotique, disproportion dans les propos
Disproportion : dans les fautes en accord avec les sentiments : qualités/ étourderies de la jeunesse (et non pas les