Toundi
Université Lumière Lyon 2
Modernité et postmodernité francophones dans les écritures de violence. Le cas de Rachid Boudjedra et Sony Labou Tansi.
par Thierno Dia TOURE
Sous la direction de Charles BONN présentée et soutenue publiquement le 22 novembre 2010 thèse de doctorat en Lettres et arts
Membres du jury : Charles BONN, Professeur émérite, Université Lyon 2 Bruno GELAS, Professeur émérite, Université Lyon 2 Martine JOB, Professeur des universités, Université Bordeaux 3 Dominique RANAIVOSON-HECHT, Maître de conférences HDR, Université de Metz
Table des matières
Contrat de diffusion . . Corpus . . Remerciements . . Introduction générale . . Première partie : Écritures de violence et modernité francophone Vers une toute puissance du signifiant ? . . Note introductive . . Chapitre I : Un statut nouveau pour le personnage . . 1.1. La mort du personnage-héros . . 1.2. Le personnage de groupe ou les « gens d'en-bas » 1.3. Les figures immondes . . 1.4. Les personnages écrivains . . Chapitre II : Un univers spatial et temporel revisité . . 2.1. Une chronotopie africaine . . 2.2. La mort des oppositions spatiales . . 2.3. L’espace du virtuel . . 2.4. Texte du corps et corps du texte : L’enfermement . . Chapitre III : Un modèle d’écriture moderne deviolence : L’humour . . 3.1. Le comique de mots, de geste et de situation . . 3.2. La caricature . . 3.3. L'humour tragique . . Note conclusive . . Seconde partie : Écritures de violence et postmodernité francophone Vers des paradigmes de dépassement de la crise ? . . Note introductive . . Chapitre IV : Crise du style, crise du sujet : Vers une scénographie postmoderne de la poétique de violence . . 4.1. Le récit postmoderne de violence : un dépassement du réalisme . . 4.2. La mise en scène de la violence : à l'épreuve du discontinu . . 4.3. Le