Lecture analytique 5
Extrait de Candide: Chapitre Trentième:

Introduction:
C'est l'épilogue: fin de l'histoire et la proclamation de l'ultime leçon de Candide et ses compagnons, terminent l'errance autour du monde. Ils sont devenus des sédentaires. Le malheur vécu par eux ou observé chez les autres, laisse place un temps à la sécurité et la tranquillité. Le professeur de cette leçon est Candide et est investi d'une mission magistral. Le cadre de cet enseignement est une ferme qui devient une école pour les compagnon de Candide et les lecteurs de Voltaire.

Problématique: Montrer que le texte constitue le point d'orgue du conte.

– La destitution de Pangloss signe la fin de la doctrine. Le rapport de force s'est inversé, Voltaire + Candide supérieur à Pangloss – Candide est capable d'une réaction mûre et intelligente. – Un récepteur attentif et critique; il ressemble au bon vieillard par un commun habitat, tout deux sont des terriens (vivent du travail de la terre) – Candide est apte à absorbé et à relativiser un savoir – Candide est capable de prendre la parole devant des hommes mûres et adultes; il engage la conversation, transforment ses interlocuteurs en répondeurs. – La royauté symbolise la force, la puissance maximale or leur précarité montre que nul n'est à l'abri d'un revers du sort, aucun privilège n'est protecteur. – Ligne 3: Candide est capable de comparer. – Ligne 5: Réponse de Pangloss: monologue long, énumératif et érudit. Les allusion historique sont véridiques. – Le reproche est dans la façon de parler qui est pénible, peu audible, excessive et démesuré. L'accusation de connaissance tourne à vide. – L'hypertrophie de la parole révèle le narcissisme du locuteur. – L'impersonnalité: toutes personnes douées d'une bonne mémoire peu en dire autant. – Enfin Voltaire fait la caricature du pédant – L'amalgame et la juxtaposition (pas de lien logique) mais un file chronologique de la Palestine jusqu'à la France en 1610. –