On dispose s’une poutre en aluminium de dimension {l=47.5 cm ; e=0.3 cm ; L=1.5 cm} a. La poutre est placée entre le bâti et le chevêtre de telle sorte qu’elle répond à la condition voulue (ici nous voulons que la poutre soit bi-encastrée) b. Le comparateur est disposé de façon a ce qu’il relève les déformations au milieu de a poutre. c. On applique un effort axial N croissant par intervalle de 5 Kg. Pour chaque effort axial, le comparateur est mis à zéro et la charge latéral Q fut augmenter progressivement par intervalle de 100 g. Les manipulations ci dessus sont réaliser pour 3 poutre de même dimensions et tester dans les même conditions.

* Schéma du dispositif expérimental

IV. Conclusion
Nous avons voulu étudier le flambage d’une poutre bi-encastrée de façon théorique et de façon expérimentale. Nous obtenons ainsi 2 valeurs de charge critique, la question à ce posé est la suivante : Le modèle théorique rend-il correctement compte des expériences menées ?
Confrontation des résultats : | Poutre bi-encastrée | Valeur de la charge critique théorique | 38.5 kg | Valeur de la charge critique Expérimentale | 41.3 kg |

|Valeur théorique – Valeur expérimentale|∕Valeur théorique = 7%
On constate d’après le tableau que la charge critique expérimentale n’est pas très précise (marge d’erreur de l’L’ordre de 7%).
Nous estimons que cet écart peut être du à plusieurs détail de manipulation : * Le poids propre du plateau de flambage sur lequel est appliqué le chargement axial n’est pas négligé. * Le comparateur n’est pas idéalement placé sur la poutre, en effet il aurait fallu que le comparateur soit précisément placé au milieu de la poutre et qu’il ne bouge pas durant les manipulations.
Pour aller un plus loin, nous avons réfléchie à savoir comment obtenir un meilleur résultat expérimental, pour cela il faudrait dans un premier temps ne pas négliger le poids du plateau de flambement et mieux disposer le