Tpe 1ere s l' évolution du gout
1) D’un goût inné à acquis
A / L’inné :
Les capacités gustatives et olfactives de détection et de discrimination des nouveau-nés sont aussi développées que celles des adultes. En effet les organes du goût (bourgeons gustatives de la langues) se développent rapidement au cours du 4eme mois de la vie intra-utérine. Très tôt le fœtus dans le ventre de sa mère perçoit et distingues les quatre groupes de saveurs (le sucrée, l’amer, l’acide et le salé) par le liquide amniotique. Néanmoins le fœtus puis le bébé semblent avoir une attirance prononcée pour le goût sucré. C’est pourquoi Beaucoup de scientifiques se sont demandés si le goût comprenait des caractères innés, c’est-à-dire que certaines préférences proviendraient des gènes. En 1887 , le physiologiste allemand Wilhelm Thierry Preyer découvre que le nouveau-né réagit pas des mimiques gusto-faciales lors de stimulations sapides. Cependant il faut attendre 1973 que le biologiste israélien Jacob Steiner les redécouvres pour quelles soit étudiées de façon systématique. Ces mimiques sont similaires pour tous les enfants et sont spécifique a la saveurs testé. Qu’il soit asiatique, africain ou européen le nouveau-né réagit au goût sucré par une mimique évocatrice de sourire. Ce rictus permet un meilleur contact avec le produit sucré que le bébé essaie de téter, le goût sucré entraînant un réflexe de succion. En revanche, l’amer provoque une grimace et l’enfant rejette la solution testée. Ce sont des véritables réflexes qui existent déjà lors de la vie intra-utérine.
Les biologiques s’accordent a penser qu’il y a eu progressivement une association entre le goût d’un aliment et son effet après ingestion. Positif en cas de gains d’énergie, négatifs en cas t’intoxication, ces effets vont donc définir les préférences et les aversions alimentaires.
Le sucrée correspond a une sources d’énergie immédiate, les sucres rapides, il déclenche donc une réaction de bien-être sur le bébé.