CONCLUSION

L'anorexie et la boulimie sont des troubles du comportement alimentaire extrêmement graves et dangereux à termes. Différents facteurs environnementaux nous obligent à avoir une certaine vision sclérosée du rapport avec la nourriture. Il est important de ne pas perdre de vue la principale fonction de se nourrir soit alimenter l’organisme. L'image du corps «parfait», du régime «idéal» est propre à chacun mais un corps sain qui fonctionne ne répond qu’a un rapport salubre avec les aliments. Ces maladies ont des origines aléatoires et psychologiques qui varient d’un individu à l’autre selon son contexte familial ou social. Elles nécessitent une pris en charge rapide par les médecins, L’entourage (la famille, les amis) doit alors prendre pleinement conscience de la conduite à risque. La connaissance des symptômes est pour certains cas capital car le malade, le plus souvent, n’as pas conscience et/ou nie être souffrant. Le risque de rechute est conséquent et le pont entre les deux maladies se fait couramment. Pour lutter contre ces conduites alimentaires à risques les médias, et les gouvernements doivent être plus impliqués, comme en Espagne par exemple, où l’on à pris des mesures face à des mannequins trop maigre maintenant interdites de défilés, ou d’être engagées. En Italie la campagne choc No-lita mené par Oliviero Toscani en 2007 a fait scandale car planifié en même temps que le défilé de mode de Milan. Malheureusement il existe des mouvements bien plus inducteurs et explicites que les dictats minceur de la mode, des mouvements pro-ana (de l’anglais anorexia) et pro-mia (de l’anglais boulimia) qui déclenche la polémique sur internet. Ses membres sont des bloggeurs ou se manifestent dans des forums mais crée également des sites qui totalise de plus en plus de visiteurs et d’adhérents. Des lois, en 2008, ont été proposées contre les protagonistes de ces mouvements, par un député de l’UMP mais cette proposition n’a jamais