I. L’immunité innée

1) L'immunité innée : cas général.
L’immunité innée est la première ligne de défense vis-à-vis des agents infectieux et pathogènes qui nous entourent. Elle met en jeux deux types de défense dans le corps humain : La défense sur un modèle constitutif c'est-à-dire sur une barrière peau-muqueuse. La défense sur un modèle induit, le phénomène de phagocytose qui entraine une réponse inflammatoire, elles font influer les cellules phagocytaires. La réponse immunitaire innée est provoquée par un signal danger émis suite a une interaction spécifique entre des récepteurs et des molécules présent au niveau des microorganismes qu'il soit pathogène ou non. Les récepteurs sont tous les mêmes au sein d'une même espèce mais sont exprimés au niveau des cellules différentes : macrophage, cellules NK (Natural killer) ou encore des cellules musculaires.

2) L’immunité innée : cas du paludisme. a) Immunité transmise maternellement.
Un enfant né de mère immune sera protégé pendant les premiers mois de sa vie, on parle alors de transfert passif de l’immunité maternelle. L’enfant qui sera exposé a une infection, commencera a développer sa propre immunité. Ce processus prendra plusieurs ans avant qu’elle soit totalement efficace. Dès que l’immunité maternelle commencera a s’affaiblir, chaque infection donnera lieu a un accès palustre, de ce fait un pourcentage d’enfants mourra de ces crises de paludisme. Ce type d’immunité se met donc en place dès le début de toute infection et se maintient jusqu'à la place de l’immunité acquise (faite par Julien). L’immunité innée est auxiliaire a celle acquise qui est plus ciblée et plus spécifique. b) L’immunité innée grâce aux cellules NK (Natural Killer). Les cellules NK (Natural killer) jouent un rôle capital dans l'immunité innée. Ces cellules font partie des lymphocytes et elles sont capables de détruire des cellules malades sans rentrer en quelconque contact avec l'agent pathogène responsable de la