La peine de mort sera discutée aujourd'hui comme sujet de TPE, il entrera dans le thème de « Responsabilité et Ethnique » proposée cette année. Aujourd'hui, dans le monde, 58 pays prononcent encore des peines capitales mais seulement 23 de ces pays ont procédé à des exécutions en 2010. C'est pendant des millénaires que la mort est le châtiment suprême jusqu'à de nos jours. « Cette mise à mort était considérée comme une réparation nécessaire pour établir l'ordre social rompu par le crime. » dit l'Amnesty International en 2003, l'ONG du Canada francophone. Jusqu'à maintenant, la peine de mort est toujours un sujet très actif sur les réseaux sociaux en France, et dont la plupart se demande pourquoi avoir aboli cette peine ? Mais rare sont ceux qui connaissent le long chemin de lutte qui mène à l'abolition. Il serait intéressant de se demander comment la peine de mort a – t – elle été aboli et dans quel but ? Tout d'abord, il s'agit de s'informer sur l'origine et l'utilité de la peine de mort. Ensuite, il est question d'analyser la lutte des auteurs à travers leurs œuvres. Et enfin, il est possible de suivre le chemin progressif de l'abolition en France.
La peine de mort, autrement dit, la peine capitale est prévu par la loi afin d'exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qui sera qualifiée de « crime capitale ». C'est à dire, lui infligé une blessure physique mais aussi morale. Cette dernière est contradictoire au « Droit de la vie ». Car, il est défini afin de protéger le citoyen contre des « meurtres légals », autrement dit : La peine de mort. Les pacifistes profitent donc de ce droit afin de défendre cet injustice et combattent la guerre qui serait « le droit de ne tuer personne et de ne pas être tué », d'après le protocole 6 de la convention européenne des droits de l'Homme. La peine de mort est donc rendu hors la loi, mais même si ces lois sont présentes, la peine capitale est toujours d'actualité et sous différentes