tpe sur l'addiction aux jeux videos
Outre le fait qu’ils peuvent canaliser les pulsions agressives et servir de défouloir, la plupart des jeux vidéo stimulent le cerveau, ils favorisent les réflexes la vue, l'attention visuelle ainsi que la notion d'espace.
Points negatifs :
Réputés néfastes, méprisés par les parents et enseignants, les jeux vidéo sont devenus la « bête noire » responsable d’échecs scolaires et professionnels. En effet certains jeux sont très mal vus par la société et les médias relatent souvent des faits incroyables liés aux jeux vidéo. De nombreux faits divers dans ce genre sont traités par les médias.
Dans des cas extrêmes certains joueurs vivent en marge de la société, entièrement dépendant de la vie des piles de la console ou de l’abonnement internet, leur hygiène de vie se retrouve incroyablement chamboulée. Quand un enfant passe de longues heures à jouer à des jeux vidéo, c'est souvent au détriment de passe-temps plus actifs. C’est pourquoi certains parents, inquiétés par les nombreux reportages divers sur les jeux, instaurent à leurs enfants des limites de jeu (temps limité en semaine, le week-end, dans une pièce définie autre que sa chambre…).
Dependance :
Être dépendant c’est être soumis, asservis, sous l’emprise de quelque chose. Il s’agit d’un besoin qui ne répond pas à une envie lucide mais qui est guidé chimiquement par notre inconscient ou par notre corps lui-même. De plus, il souligne que l’enfermement dans les jeux vidéo n’est pas la cause, mais plutôt une conséquence du repli sur soi de certains adolescents en raison de leurs souffrances personnelles (séparations des parents, décès, etc.). C’est un choix. Ces gosses savent exactement ce qu’ils sont en train de faire, ils ne veulent simplement pas changer. Si personne n’est là pour les aider, alors rien n’arrivera. ».
Solitude : Encore aujourd’hui, il arrive de pointer du doigt le jeu vidéo parce qu’il fige le joueur devant son écran au risque de le rendre, employons les grands