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Nous allons tout d'abord aborder les parties favorables au maintien de l'euro. Selon le partie du front de gauche avec comme représentant Jean-Luc Mélenchon l'euro ne devrait pas être supprimé mais repensé et profondément transformé. Ils disent que malgré que l'union monétaire ne remplissent pas les conditions nécéssaire au fonctionnement durable et progressiste d'une zone monétaire, l'euro en lui même n'est pas la cause de la crise actuelle, qui est selon eux imputable aux capitalisme financiarisé et aux politiques néo-libérale. La sortie de l'euro pas plus que son maintien n'est pas une condition nécessaire pour changer de système ni de politique et qu'il faudrait sortir de l'application du traité de Lisbonne et que la quasi-totalité des méfaits économique qu'on impute à l'euro sont enfaite l'effet de politique gouvernementale, et du pouvoir jugé éxorbitant des gestionnaire de capitaux. Plusieurs autres parties sont aussi favorable a l'euro tel que l'UMP, le Partie Socialiste, le Partie Communiste et enfin le MoDem car pour eux l'euro représente une intégration dans la construction européenne et une union politique de taille.
Une sortie de l'euro symboliserait de plus un recul politique parce que la monnaie unique est une étape longue et difficile qui était destiné a mettre fin a des siècles de guerre et éviter les tentations nationaliste. Reculer sur l'euro, pour avoir une monnaie nationale serait mettre fin a cette effort construit depuis plusieurs générations.
De plus certains économistes avancent l'hypothèse que le retour à une monnaie nationale aurait pour conséquence de voir la devise du pays chuté. Cela provoquera donc une agravation du problème financier du pays car le poids de la