The white lady of the lake
J'ai dû avoir essayé 10 tenues avant que je décide finalement ce que j'allais porter pour mon tout premier rendez-vous avec Jeff. J'ai été au téléphone tout l'après-midi avec une amie après l'autre, discutant de couleurs, d'accessoires, de vernis à ongles, et tous les autres essentiels de mode que normalement je n'y pense pas, parce que je me considère plutôt comme une intellectuelle qu'une fashionista. Mais ça c'était avant que je sois demandée pour sortir par le gars le plus populaire de l'école.
Je sortis devant sur le porche pour vernir mes ongles de pieds. J'étais au tiers du chemin quand une ombre familière bloqua le chaud rayon de soleil de printemps pour un moment. Je ne regardai même pas en haut :
« Qu'est-ce que c'est maintenant, Stan ? » Je questionnai d'un air fatiguée. Mon voisin, depuis que je suis née, fis son chemin jusqu'à la chaise en osier à côté de la mienne.
« Écoute, Jamie, c'est vrai que Jeff te prend pour un pique-nique à Durand-Eastman Park ? »
Quel chagrin, pensais-je. Jeff vient de faire l'arrangement final avec moi 30 minutes avant. J'ai, bien sûr, immédiatement téléphoné à ma meilleure amie, Diane, et lui ai dit la nouvelles. En supposant qu'il fallut à Diane moins de 10 minutes pour téléphoner à tous nos autres amies, et après 10 autres minutes pour eux pour appeler leurs amies, cela voulait dire que la nouvelle a dû arriver chez Stan dans les 25 minutes après que j'ai raccroché avec Jeff. Cela doit être un record pour les rumeurs, je conclus, en regardant Stan.
Stan semble un peu comme un épouvantail blond.roux. Il fait 1m87 et joue naturellement au basket, mais en dehors du court il apparaît un peu maladroit comme s'il avait deux pieds gauches. Stan est aussi un intellectuel, comme moi. Je le considère comme un bon ami, sauf pour ses habitudes irritantes de demander pour que je sorte avec lui au moins une fois par mois. Je veux dire, j'aime Stan, mais comme un ami.
« On va aller au parc, » je